La Faute de l'Abbé Mouret

La Faute de l'Abbé Mouret (paragraphe n°1769)

Partie : Livre 3, chapitre VIII

Alors, dit-elle, tu préfères ton Dieu à moi ! Tu le crois plus fort que moi. Tu t'imagines qu'il t'aimera mieux que moi... Tiens ! tu es un enfant. Laisse donc ces bêtises. Nous allons retourner au jardin ensemble, et nous aimer, et être heureux, et être libres. C'est la vie.

?>