La Faute de l'Abbé Mouret

La Faute de l'Abbé Mouret (paragraphe n°1941)

Partie : Livre 3, chapitre XII

Et maintenant mes bras sont comme brisés. Si je voulais te prendre contre ma poitrine, je ne saurais point te tenir, je te laisserais tomber... Attends que ce frisson m'ait quitté. Tu me donneras tes mains, je les baiserai encore. Sois bonne, ne me regarde pas de tes yeux irrités. Aide-moi à retrouver mon cœur.

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