La Faute de l'Abbé Mouret

La Faute de l'Abbé Mouret (paragraphe n°1995)

Partie : Livre 3, chapitre XIII

Il se prosternait, il balbutiait dans la poussière. L'église était victorieuse ; elle restait debout, au-dessus de la tête du prêtre, avec ses autels, son confessionnal, sa chaire, ses croix, ses images saintes. Le monde n'existait plus. La tentation s'était éteinte, ainsi qu'un incendie désormais inutile à la purification de cette chair. Il entrait dans la paix surhumaine. Il jetait ce cri suprême :

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