La Faute de l'Abbé Mouret

La Faute de l'Abbé Mouret (paragraphe n°265)

Partie : Livre 1, chapitre VII

Le cabriolet passa devant une grille seigneuriale, toute saignante de rouille, garnie à l'intérieur de planches maçonnées. Les sauts-de-loup étaient noirs de ronces. A une centaine de mètres, le pavillon habité par Jeanbernat se trouvait enclavé dans le parc, sur lequel une de ses façades donnait. Mais le gardien semblait avoir barricadésa demeure, de ce côté ; il avait défriché un étroit jardin, sur la route ; il vivait là, au midi, tournant le dos au Paradou, sans paraître se douter de l'énormité des verdures débordant derrière lui.

?>