La Faute de l'Abbé Mouret

La Faute de l'Abbé Mouret (paragraphe n°393)

Partie : Livre 1, chapitre XI

Ah ! tu es gentil ! balbutia-t-elle en l'entraînant. Tu verras les poules, les lapins, les pigeons, et mes canards qui ont de l'eau fraîche, et ma chèvre, dont la chambre est aussi propre que la mienne, à présent... Tu sais, j'ai trois oies et deux dindes. Viens vite. Tu verras tout.

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