La Faute de l'Abbé Mouret

La Faute de l'Abbé Mouret (paragraphe n°399)

Partie : Livre 1, chapitre XI

Mais, lorsqu'elle l'eut fait entrer, en refermant la barrière derrière eux, elle fut assaillie si violemment, qu'elle disparut presque. Les canards et les oies, claquant du bec, la tiraient par ses jupes ; les poules goulues sautaient à ses mains qu'elles piquaient à grands coups, les lapins se blottissaient sur ses pieds, avec des bonds qui lui montaient jusqu'aux genoux ; tandis que les troischats lui sautaient sur les épaules, et que la chèvre bêlait, au fond de l'écurie, de ne pouvoir la rejoindre.

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