La Faute de l'Abbé Mouret

La Faute de l'Abbé Mouret (paragraphe n°405)

Partie : Livre 1, chapitre XI

La basse-cour, en effet, était balayée, lavée, ratissée. Mais de ces eaux sales remuées, de cette litière retournée à la fourche, s'exhalait une odeur fauve, si pleine de rudesse, que l'abbé Mouret se sentit pris à la gorge. Le fumier s'élevait contre le mur du cimetière en un tas énorme qui fumait.

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