La Faute de l'Abbé Mouret

La Faute de l'Abbé Mouret (paragraphe n°420)

Partie : Livre 1, chapitre XI

On dirait un satin, reprit-elle. Ils sont habillés comme des princes. Et coquets avec cela ! Tiens, en voilàun qui est toujours à se débarbouiller. Il use ses pattes... Si tu savais comme ils sont drôles ! Moi je ne dis rien, mais je m'aperçois bien de leurs malices. Ainsi, par exemple, ce gris qui nous regarde détestait une petite femelle, que j'ai dû mettre à part. Il y a eu des histoires terribles entre eux. Ça serait trop long à conter. Enfin, la dernière fois qu'il l'a battue, comme j'arrivais furieuse, qu'est-ce que je vois ? ce gredin-là, blotti dans le fond, qui avait l'air de râler. Il voulait me faire croire que c'était lui qui avait à se plaindre d'elle...

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