La Faute de l'Abbé Mouret

La Faute de l'Abbé Mouret (paragraphe n°562)

Partie : Livre 1, chapitre XIII

Pas si vite, donc ! Vous me laisserez bien le temps d'attacher les branches. Il ne faut pas que tous ces fagots tombent sur la tête de monsieur le curé... Eh bien ! Babet, c'est ton tour. Quand tu me regarderas, avec tes gros yeux ! Il est joli, ton romarin ! Il est jaune comme un chardon. Toutes les bourriques du pays ont donc pissé dessus !... A toi, la Rousse. Ah ! voilà du beau laurier, au moins ! Tu as pris ça dans ton champ de la Croix-Verte.

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