La Faute de l'Abbé Mouret

La Faute de l'Abbé Mouret (paragraphe n°651)

Partie : Livre 2, chapitre 1

Et il restait la tête appuyée, sans bouger un doigt, comme accablé d'une lassitude heureuse. Ses yeux s'étaient lentement ouverts ; sa bouche soufflait légèrement sur l'une de ses mains nues, soulevant le duvet de sa peau blonde.

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