La Faute de l'Abbé Mouret

La Faute de l'Abbé Mouret (paragraphe n°656)

Partie : Livre 2, chapitre 1

Oh ! tu es guéri, maintenant, reprit-elle. Sais-tu que je pleurais tout le long du chemin, lorsque je revenais de là-bas avec de mauvaises nouvelles ? On me disait que tu avais le délire, que cette mauvaise fièvre, si elle te faisait grâce, t'emporterait la raison... Comme j'ai embrassé ton oncle Pascal, lorsqu'il t'a amené ici, pour ta convalescence !

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