La Faute de l'Abbé Mouret

La Faute de l'Abbé Mouret (paragraphe n°798)

Partie : Livre 2, chapitre V

Non, ne parle pas, si cela te fatigue. Assois-toi à mon côté. Nous resterons sur ce gazon, jusqu'à ce que le soleil tourne... Et, regarde, j'ai trouvé deux fraises. J'ai eu bien de la peine, va ! Les oiseaux mangent tout. Il y en a une pour toi, les deux si tu veux ; ou bien nous les partagerons, pour goûter à chacune... Tu me diras merci, et je t'entendrai.

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