La Faute de l'Abbé Mouret

La Faute de l'Abbé Mouret (paragraphe n°801)

Partie : Livre 2, chapitre V

Attends encore, disait Albine. Le parfum des roses est trop fort pour toi. Je n'ai jamais pu m'asseoir sous les rosiers, sans me sentir toute lasse, la tête perdue, avec une envie très douce de pleurer... Va, je te mènerai sous les rosiers, et je pleurerai, car tu me rends bien triste.

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