La Faute de l'Abbé Mouret

La Faute de l'Abbé Mouret (paragraphe n°814)

Partie : Livre 2, chapitre VI

Ecoute, il faut ne jamais me quitter ; car tu es mon souffle, tu emporterais ma vie. Nous resterons en nous. Tu seras dans ma chair, comme je serai dans la tienne. Si je t'abandonnais un jour, que je sois maudit, que mon corps se sèche ainsi qu'une herbe inutile et mauvaise !

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