La Faute de l'Abbé Mouret

La Faute de l'Abbé Mouret (paragraphe n°838)

Partie : Livre 2, chapitre VI

Ah ! que tu m'as fait souffrir ! Je n'étais plus rien pour toi, je passais mes journées, inutile, impuissante, me désespérant comme une propre à rien... Et pourtant, les premiers jours, je t'avais soulagé. Tu me voyais, tu me parlais... Tu ne te rappelles pas, lorsque tu étais couché et que tu t'endormais contre mon épaule, en murmurant que je te faisais du bien ?

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