La Faute de l'Abbé Mouret

La Faute de l'Abbé Mouret (paragraphe n°922)

Partie : Livre 2, chapitre VIII

Non, tais-toi, tu me désoles, interrompit Serge inquiet. Je veux que nous vivions au soleil, loin de cette ombre mortelle. Tes paroles me troublent, comme si elles nous poussaient à quelque malheur irréparable. Ça doit être défendu de s'asseoir sous un arbre dont l'ombrage donne un tel frisson.

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