La Fortune des Rougon

La Fortune des Rougon (paragraphe n°1051)

Partie : Préface, chapitre VI

Vous ne m'attendiez guère, n'est-ce pas ? Je comprends maintenant : vous deviez avoir dressé quelque guet-apens chez moi. Malheureux ! voyez où vous ont conduit vos vices et vos désordres !

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