La Fortune des Rougon

La Fortune des Rougon (paragraphe n°1205)

Partie : Préface, chapitre VI

Rougon, resté seul, s'étonna de cette révolte d'un homme si humble, si plat d'ordinaire. La conduite de Vuillet lui parut louche. Mais il n'eut pas le temps de chercher une explication. Il s'était à peine allongé de nouveau dans son fauteuil, que Roudier entra, en faisant sonner terriblement, sur sa cuisse, un grand sabre qu'il avait attaché à sa ceinture. Les dormeurs se réveillèrent effarés. Granoux crut à un appel aux armes.

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