La Fortune des Rougon

La Fortune des Rougon (paragraphe n°1310)

Partie : Préface, chapitre VI

Alors, sans rien avouer, il confessa carrément qu'il voulait avoir la clientèle du collège. Autrefois, c'était lui qui fournissait l'établissement de livres classiques. Mais on avait appris qu'il vendait, sous le manteau, des pornographies aux élèves, en si grande quantité que lespupitres débordaient de gravures et d'œuvres obscènes. A cette occasion, il avait même failli passer en police correctionnelle. Depuis cette époque, il rêvait de rentrer en grâce auprès de l'administration, avec des rages jalouses.

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