La Fortune des Rougon

La Fortune des Rougon (paragraphe n°1330)

Partie : Préface, chapitre VI

Moi, je m'en lave les mains, cria-t-il. C'est vous deux qui avez fait la sottise. Est-ce qu'il n'était pas plus sage de manger tranquillement nos petites rentes ? Toi, tu as toujours voulu dominer. Tu vois où cela nous a conduits.

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