La Fortune des Rougon

La Fortune des Rougon (paragraphe n°1382)

Partie : Préface, chapitre VI

Si vous aviez continué à me fournir de l'argent, j'aurais été charmant pour vous, et je vous aurais aidés, au lieu de vous combattre. C'est votre faute. Il fallait m'acheter.

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