La Fortune des Rougon

La Fortune des Rougon (paragraphe n°1509)

Partie : Préface, chapitre VI

Un régiment venait, en effet, d'arriver, sous les ordres du colonel Masson et de monsieur de Blériot, préfet du département. Les fusils aperçus des remparts, au loin dans la plaine, avaient d'abord fait croire à l'approche des insurgés. L'émotion de Rougon fut si forte, que deux grosses larmes coulèrent sur ses joues. Il pleurait, le grand citoyen ! La commission municipale regarda tomber ces larmes avec une admiration respectueuse. Mais Granoux se jeta de nouveau au cou de son ami, en criant :

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