La Fortune des Rougon

La Fortune des Rougon (paragraphe n°315)

Partie : Préface, chapitre III

Oui, oui, il faut rester, dit vivement la vieille femme. C'est ici que nous avons souffert, c'est ici que nous devons triompher. Ah ! je les écraserai, toutes ces belles promeneuses du Mail qui toisent dédaigneusement mes robes de laine !... Je n'avais pas songé à la place de receveur ; je croyais que tu voulais devenir maire.

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