La Fortune des Rougon

La Fortune des Rougon (paragraphe n°352)

Partie : Préface, chapitre III

Tu souris ? reprit monsieur de Carnavant. C'est le commencement d'un aveu. Je me doutais bien que tu devais être derrière ton mari ! Pierre est trop lourd pour inventer la jolie trahison que vous préparez... Vrai, je souhaite de tout mon cœur que les Bonaparte vous donnent ce que j'aurais demandé pour toi aux Bourbons.

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