La Fortune des Rougon

La Fortune des Rougon (paragraphe n°355)

Partie : Préface, chapitre III

Me trahiras-tu si je te dis que je le crois ? répondit en riant le marquis. J'en ai fait mon deuil, petite. Je suis un vieux bonhomme fini et enterré. C'est pour toi, d'ailleurs, que je travaillais. Puisque tu as su trouver sans moi le bon chemin, je me consolerai en te voyant triompher de ma défaite... Surtout ne joue plus le mystère. Viens à moi, si tu es embarrassée.

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