La Fortune des Rougon

La Fortune des Rougon (paragraphe n°532)

Partie : Préface, chapitre IV

Voyons, dit-il enfin, vous êtes malheureux et j'ai pitié de vous. Bien que vous m'ayez cruellement insulté, je n'oublie pas que nous avons la même mère. Mais si je vous donne quelque chose, sachez que je le fais par bonté et non par crainte... Voulez-vous cent francs pour vous tirer d'affaire ?

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