La Fortune des Rougon

La Fortune des Rougon (paragraphe n°605)

Partie : Préface, chapitre IV

Ah ! oui, ricanait Macquart touché au vif de sa plaie, tu veux que je travaille, n'est-ce pas ? pour que cesgueux de riches spéculent encore sur moi. Je gagnerais peut-être vingt sous à m'exterminer le tempérament. Ca vaut bien la peine !

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