La Fortune des Rougon

La Fortune des Rougon (paragraphe n°890)

Partie : Préface, chapitre V

Tu es auprès de moi, n'est-ce pas, mon enfant ? continua-t-elle. Il ne faut pas me quitter... J'ai cru que j'allais mourir, tout à l'heure... Nous avons eu tort de percer le mur. Depuis ce jour, j'ai souffert. Je savais bien que cette porte nous porterait encore malheur... Ah ! les chers innocents, que de larmes ! On les tuera, eux aussi, à coups de fusil, comme des chiens.

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