La Fortune des Rougon

La Fortune des Rougon (paragraphe n°925)

Partie : Préface, chapitre V

Mais, au bout de quinze jours, l'enfant sut nager. Libre de ses membres, bercée par le flot, jouant avec lui, elle se laissait envahir par les souplesses molles de la rivière, par le silence du ciel, par les rêveries des berges mélancoliques.

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