La Fortune des Rougon

La Fortune des Rougon (paragraphe n°955)

Partie : Préface, chapitre V

Et, le matin, il s'était tranquillement mis à ramasser le long de la route des cailloux et des plantes, Il se désespérait de ne pas avoir emporté son marteau de géologue et sa boîte à herboriser. A cette heure, sespoches, pleines de pierres, crevaient, et sa trousse, qu'il tenait sous le bras, laissait passer des paquets de longues herbes.

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