La Joie de vivre

La Joie de vivre (paragraphe n°1136)

Chapitre VI

Lorsque la malade se réveilla, elle ne remarqua point d'abord l'absence de son fils. Une stupeur semblait la prendre, elle se repliait en elle-même, dans le besoin égoïste de se sentir vivre. Seule, la présence de Pauline l'inquiétait, bien que celle-ci se dissimulât, assise à l'écart, sans parler, sans bouger. Sa tante ayant allongé la tête, elle crut pourtant devoir la renseigner d'un mot.

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