La Joie de vivre

La Joie de vivre (paragraphe n°1603)

Chapitre VIII

Possible, ça ne m'empêche pas de me réjouir pour toi. Va, va, donne ton Lazare, ce n'est pas un beau cadeau que tu fais à l'autre... Oh ! sans doute, il est charmant,plein des meilleures intentions ; mais je préfère que l'autre soit malheureuse avec lui. Ces gaillards qui s'ennuient de tout, sont trop lourds à porter, même pour des épaules solides comme les tiennes. Je te souhaiterais plutôt un garçon boucher, oui, un garçon boucher qui rirait nuit et jour à se fendre les mâchoires.

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