La Joie de vivre

La Joie de vivre (paragraphe n°1607)

Chapitre VIII

Le troisième jour, Pauline reçut une lettre du docteur : on l'attendait à Saint-Lô, dès qu'elle serait libre. Et ce fut ce jour même, pendant une absence de Lazare, qu'elle emmena Louise au fond du potager, sur un vieux banc abrité par une touffe de tamaris. En face, au-dessus du petit mur, on ne voyait que la mer et le ciel, uneimmensité bleue, coupée à l'horizon d'une grande ligne simple.

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