La Joie de vivre

La Joie de vivre (paragraphe n°2108)

Chapitre X

Est-ce que tu me crois assez mauvais pour ne pas comprendre que je te dois tout ?... Depuis ton entrée dans cette maison, tu n'as cessé de te sacrifier. Je ne reparleplus de ton argent, mais tu m'aimais encore, lorsque tu m'a donné à Louise, je le sais à cette heure... Si tu te doutais combien j'ai honte, quand je te regarde, quand je me souviens ! Tu aurais ouvert tes veines, tu étais toujours bonne et gaie, même les jours où je t'écrasais le cœur. Ah ! tu avais raison, il n'y a que la gaieté et la bonté, le reste est un simple cauchemar.

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