La Joie de vivre

La Joie de vivre (paragraphe n°256)

Chapitre II

Puis, la douleur changeait : on lui liait la cheville avec un fil de fer, on lui raidissait les muscles jusqu'à les rompre, ainsi que des cordes de violon. Pauline écoutait d'un air de complaisance, paraissait tout comprendre, vivait sans trouble dans le hurlement de sa plainte, préoccupée uniquement de la guérison. Elle était même gaie, elle parvenait à le faire rire, entre deux gémissements.

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