La Joie de vivre

La Joie de vivre (paragraphe n°258)

Chapitre II

Eh bien ! nous y voilà encore, dit-il. Je suis accouru pour vous serrer la main. Mais vous savez que je n'en ferai pas plus que cette enfant. Mon cher, quand on a hérité de la goutte et qu'on a dépassé la cinquantaine, on doit en prendre le deuil. Ajoutez que vous vous êtes achevé avec un tas de drogues... Vous connaissez le seul remède : patience et flanelle !

?>