La Joie de vivre

La Joie de vivre (paragraphe n°297)

Chapitre II

Pauline conserva de cette scène un souvenir étonné. Lazare s'était mis debout péniblement, ils rentrèrent à Bonneville dans l'ombre, les pieds gagné par les vagues ; et ni l'un ni l'autre ne trouvaient plus rien à se dire. Elle le regardait marcher devant elle, il lui semblait diminué de taille, courbé sous le vent qui soufflait de l'ouest.

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