La Joie de vivre

La Joie de vivre (paragraphe n°305)

Chapitre II

A table, elle ne mangea pas. Ses yeux ne quittaient plus les gens, et ils prenaient un noir farouche, dès que son cousin, son oncle ou même Véronique, s'occupaient de Louise. Mais elle parut souffrir surtout, quand Mathieu, au dessert, fit son tour habituel et alla poser sa grosse tête sur le genou de la nouvelle venue. Vainement elle l'appela, il ne lâchait pas celle-ci, qui le bourrait de sucre.

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