La Joie de vivre

La Joie de vivre (paragraphe n°334)

Chapitre II

Un matin, au moment où madame Chanteau quittait sa chambre, elle entendit des plaintes chez Pauline, elle monta très inquiète. Assise au milieu du lit, les couvertures rejetées, la jeune fille appelait sa tante d'un cri continu, blanche de terreur ; et elle écartait sa nudité ensanglantée, elle regardait ce qui était sorti d'elle, frappée d'une surprise dont la secousse avait emporté toute sa bravoure habituelle.

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