La Joie de vivre

La Joie de vivre (paragraphe n°370)

Chapitre II

Alors, elle lut, elle commenta. Il fallait une soixantaine de mille francs pour installer la petite usine. Lazare, à Paris, s'était retrouvé avec un de ses anciens camarades de Caen, le gros Boutigny, qui avait quitté le latin en quatrième, et qui maintenant plaçait des vins. Boutigny, très enthousiaste du projet, offrait trente mille francs : ce serait un excellent associé, un administrateur dont les facultés pratiques assureraient le succès matériel. Restaient trente mille francs à emprunter, car Lazare voulait avoir en main la moitié de la propriété.

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