La Joie de vivre

La Joie de vivre (paragraphe n°375)

Chapitre II

Oui, ma chérie, ce serait que toi-même tu prêtasses les trente mille francs à ton cousin... Jamais tu n'aurais fait un placement si avantageux, ton argent te rapporterait peut-être le vingt-cinq pour cent, car ton cousin t'associerait à ses bénéfices ; et cela me fend le cœur de voir toute cette fortune aller dans la poche d'unautre... Seulement, je ne veux pas que tu hasardes tes sous. C'est un dépôt sacré, il est là-haut, et je te le rendrai intact.

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