La Joie de vivre

La Joie de vivre (paragraphe n°430)

Chapitre III

Les chaudes journées d'août étaient venus, le jeune homme décida un soir qu'on se baignerait le lendemain, en allant à l'usine. Travaillée par ses idées de convenances, la mère les accompagna, malgré le terrible soleil de trois heures. Elle s'assit près de Mathieu sur les galets brûlants, elle s'abrita de son ombrelle, sous laquelle le chien tâchait d'allonger sa tête.

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