La Joie de vivre

La Joie de vivre (paragraphe n°456)

Chapitre III

Il resta tout secoué de l'emportement de ce baiser. Lorsque madame Chanteau la rhabilla, il s'écarta de lui-même. La rentrée à Bonneville fut douce et pénible, l'un et l'autre semblaient brisés de fatigue. Entre eux, la mère marchait, en réfléchissant que l'heure était venue de prendre un parti.

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