La Joie de vivre

La Joie de vivre (paragraphe n°695)

Chapitre IV

Tous trois partirent donc après le déjeuner. Un coup de vent venait de balayer les nuages, des rires de triomphe saluèrent cette joie inattendue. Le ciel avait des nappes de bleu si larges, encore traversées de quelques haillons noirs, que les jeunes filles s'entêtèrent à n'emporter que leurs ombrelles. Lazare seul prit un parapluie. D'ailleurs, il répondait de leur santé, il les abriterait bien quelque part, si les averses recommençaient.

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