La Joie de vivre

La Joie de vivre (paragraphe n°820)

Chapitre IV

Naturellement, il faut le payer, ce boulanger, poursuivit-elle, comme si elle n'avait pas entendu. Il m'a parlé, on ne peut lui raconter que je suis sortie... Ah ! j'en ai assez, de la maison ! Ca devient trop lourd, je finirai par tout planter là... Si Pauline seulement n'allait pas si mal, elle nous avancerait les quatre-vingt-dix francs de sa pension. Nous sommes au vingt, ça ne ferait jamais que dix jours... La pauvre petite paraît bien faible...

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