La Joie de vivre

La Joie de vivre (paragraphe n°833)

Chapitre IV

Ces nausées, ces frissons terribles étaient simplement les indices que l'abcès perçait enfin. On n'avait plus à craindre la suffocation, désormais le mal allait se résoudre de lui-même. La joie fut grande, Lazare accompagna le docteur, et comme Martin, l'ancien matelot resté au service de ce dernier, avec sa jambe de bois, buvait un verre de vin dans la cuisine, tout le monde voulut trinquer. Madame Chanteau et Louise prirent du brou de noix.

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