La Joie de vivre

La Joie de vivre (paragraphe n°877)

Chapitre V

Chanteau finissait par rire de ces espiègleries de grande fille caressante. Cependant, sans qu'il osât l'avouer devant sa femme, tout son cœur était pour Pauline, qui le soignait d'une main si légère. Et il se replongeait dans son journal, dès que madame Chanteau, perdue au fond de ses réflexions, en sortait brusquement, comme d'un rêve.

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