La Terre

La Terre (paragraphe n°1048)

Chapitre V

C'est vrai, il y a des jours où je flanquerais tout en l'air, répondit gaiement Hourdequin. Aussi voilà trente ans que les embêtements durent !... Je ne sais pas pourquoi je me suis entêté, j'aurais dû bazarder la ferme et faire autre chose. L'habitude sans doute, et puis l'espoir que ça changera, et puis la passion, pourquoi ne pas le dire ? Cette bougresse de terre, quand elle vousempoigne, elle ne vous lâche plus... Tenez ! regardez sur ce meuble, c'est bête peut-être, mais je suis consolé, lorsque je vois ça.

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