La Terre

La Terre (paragraphe n°3097)

Chapitre III

Et ce fut tout. Une seconde avait suffi, l'irréparable était fait. Lise, béante de voir se réaliser si vite ce qu'elle avait voulu, regardait la robe coupée se tacher d'un flot de sang. Etait-ce donc que le fer avait pénétré jusqu'au petit, pour que ça coulât si fort ? Derrière la meule, la face pâle du vieux Fouan s'allongeait de nouveau. Il avait vu le coup, ses yeux troubles clignotaient.

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