Le Docteur Pascal

Le Docteur Pascal (paragraphe n°1045)

Chapitre VIII

C'est vrai, je me suis guéri, j'en ai guéri d'autres, et je crois toujours que mes piqûres sont efficaces, dans beaucoup de cas... Je ne nie pas la médecine, le remords d'un accident douloureux, comme celui de Lafouasse, ne me rend pas injuste... D'ailleurs, le travail a été ma passion, c'est le travail qui m'a dévoré jusqu'ici, c'est en voulant me prouver la possibilité de refaire l'humanité vieillie, vigoureuse enfin et intelligente, que j'ai failli mourir, dernièrement... Oui, un rêve, un beau rêve !

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